mardi 8 mars 2011

On rentre...


Amis et apprentis surfers nous ont quitté, nous profitons du spot only pour nous pour ces deux derniers jours.
Notre « long » périple touche donc à sa fin, il va falloir refaire les bagages,  le matériel s’est accumulé malgré la petitesse de notre chambre. 2 board bag, matos de plongée, 3 sacs et x kilo sur la balance, merci Qatar.

mardi 1 mars 2011

BACK TO SRI LANKA



Cela fait du bien de retrouver « son chez soi »…
Rathna, le boss de 7th Sky nous a gardé notre petite chambre et nous sommes bien heureux de retrouver le reste de nos affaires : ma petite 5’8, ma station musique et surtout mon Mac, compagnon de tous mes voyages, ou presque ! Ma banque mémoire, ma connexion au monde, mes images, mes souvenirs, ma musique, juste ce qu’il faut de repères pour partir au large…
Louis, Secret Spot...
Ce sont les vacances scolaires en France et nous rencontrons beaucoup de famille française avec lesquelles nous partageons notre expérience du pays, nos soirées, nos sessions de surf, nos jeux (plongée, pêche, etc..) au grand bonheur de tous les enfants qui se font plein de copains… Mais je dois dire, avec tout ce petit monde, pas évident de trouver du temps pour le travail scolaire… On mettra les bouchers doubles.
Christien et Louis , mes « élèves » pour ce retour, sont heureux de renouveler leur expérience cingalaise. Les vagues se sont faites jolies et mignonettes pour leur arrivée et nous profitons de ces conditions idéales pour  progresser chaque jour. C’est un vrai bonheur que d’enseigner dans ce genre de  contexte.

dimanche 20 février 2011

El Nido



Avant de prendre notre route du retour, je décide de faire « l’ascension » du pic El Nido. Je réussis à me faire prêter une paire de baskets par une jeune fille locale qui par chance fait la même pointure que moi. Vu les rochers saillants, il m’aurait été délicat de faire cette montée en slaps, bien que mon guide la fasse ainsi équipé, d’une paire de « tong » toute déchiquetée…
Il me faudra finalement moins de 30 minutes pour atteindre le sommet. Mais ce n’était pour ainsi dire que de l’escalade… La vue est imprenable de la haut, je m’ennivre de liberté tout en faisant attention de bien caler mes pieds car le sommet est formé que de pics saillants. Pas possible de s’asseoir, à moins d’être un fakir…
Il est temps pour nous de reprendre le chemin du retour et de clôturer ainsi notre 2nd mois de voyages, direction Sri Lanka via Hong Kong en espérant de ne pas retomber sur des  douaniers à l’ecxés de zéle exacerbé…

jeudi 17 février 2011

PALAWAN LES FLOTS...





Nous avons quitté Cebu par les airs et en une heure de temps de vol, nous nous posons à l’aéroport de Puerto Princessa. La ville n’a pas grand intérêt, ce sera juste une étape pour organiser la suite de notre périple touristique. Pas de planche de surf pour une fois, du pur tourisme, ça me fait bizarre.
Lonely planet est notre guide et nous enchainons villages et îles jusque El Nido, un petit coin de paradis où il y régne une certaine douceur de vivre. C’est aussi le point de départ pour toutes les archipels des Bacuits. Il y a plus de 45 îles et îlets sur lesquels accoster en Banca. El Nido, bien qu’ayant une allure de bout du monde est devenu assez touristique et nous avons de la chance de pouvoir louer une banca uniquement  pour nous, nous permettant de ne pas être noyé dans une foule d’étrangers débarquant sur des petits îlets pour y prendre leur lunch préparé au barbeque par les boatmen. Nous avons ainsi le privilége de choisir notre petit coin de sable blanc non exploité sur notre île et suivant les endroits, et autorisation, sortir notre fameux harpon. Hélas, la faune est dense mais spécialement de minuscules poissons. Haize, qui m’a largement dépassé sur une bonne partie de nos activités aquatiques, s’en sort encore pas mal, tirant un poisson pour notre déjeuner qui finira en moins de deux sur la grille du bbq…
Nous passons ainsi plusieurs jours sur El Nido à tourner d’île en île entre les falaises calcaires et karstiques (cf « petit fûté) à faire du snorkeling et à nous émerveiller de ses paysages grandioses.

mardi 25 janvier 2011

COKALIONG




Cokaliong, direction Cebu par navigation de nuit. Nous sommes sur le pont supérieur, chacun dans sa banette superposée. Je suis à côté de Haize et de deux bébés qui dorment déjà à point fermé. Notre arrivée est prévue à 6h du matin à Cebu, premiére escale avant de partir sur Puerto Princessa, ville principale de Palawan, notre prochaine destination découverte.
Nous avons donc pris un premier bateau pour quitter Siargao et nous rendre au port de Surigao à 3h30 de navigation de notre point de départ. Nous avons profité de cette halte pour une petite visite de la ville en « threewheel », et notamment son marché principal, l’un des plus beaux que j’ai pu faire, du moins sur les étalages de poissons. Pas une seule mouche, peu d’odeur et des poissons qui avaient l’air de sortir tout juste de leur milieu naturel : brillants à souhait, l’œil luisant, j’aurais pu les manger sur l’instant façon sashimi…
Finalement c’est dans une des gargottes du port  que nous avons pris notre diner : quelques brochettes de poulets, poitrines de porc grillées sur de la braise presque à même le trottoir, avec en accompagnement des brochettes de bananes et du riz cuit compacté, emballé dans des feuilles de bambous tressées. Délicieux et le tout pour 1E/personne. La facture ne nous aura pas gaché notre diner…




samedi 22 janvier 2011

TROP BEAU

 Les jours s’enchainent et nous les prenons chaque journée comme elles s’offrent à nous : maussades ou ensoleillées ; avec une très nette préférence pour le deuxiéme choix… Si Could 9 est trop solide, je m’échappe sur des spots de replis qui sont accessibles par banca. C’est vraiment le top que d’aller surfer en bateau. J’adore ça ! L’eau, varie de couleur suivant les fonds mais reste toujours translucide. En arrière plan de ce tableau idyllique, toujours les cocotiers… L’eau est douce, souvent plus chaude que l’air dès que la brise se met à souffler légérement. Un petit paréo s’avère nécessaire pour le retour en bateau sur la terre ferme. Ensuite, on « attrape » une moto taxi « en ville » pour revenir se poser dans notre guesthouse, des bungalows posés sur pilotis au milieu de cocotiers, sur un tapis naturel vert moelleux, le tout au bord de la plage dans le lagon…

IL PLEUT...


Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas. Faut dire que nous sommes à la saison des pluies sur Siargao. Nous avons profité de deux magnifiques journées où nous avons trippé en bateau sur des îles magnifiques et paradisiaques. De vraies images de cartes postales s’offraient à nous : des îlots de sables blancs, des cocotiers bordant l’eau turquoise sous un ciel bleu marine parsemé de nuages cotonneux. Notre plongée fut encore plus enthousiasmante, comme dirait Uhaina c’était le paysage de Avatar sous l’eau. Je témoigne. Par contre, pas un seul poisson à chasser pour notre diner. Ne me dites pas que nous avons pris notre harpon pour rien ?!!!


Aujourd'hui et ce, depuis hier soir il pleut des seaux d’eau, et c’est peu dire. Les pistes de sables durs sont inondées et c’est une mission que d’aller surfer sur ce secret spot. Les mobilettes s’enfoncent jusqu’au ¾ de la roue, à croire qu’elles sont amphibies. Le chemin qui descend ensuite sur notre droite au bout de 40 minutes de pistes et de route, s’enfonce dans la jungle, ça slide de partout entre les cocotiers… Le pic est mignon, rien de fantastique, mais nous sommes seules à l’eau. Je me suis trop vite emballée, 15 minutes après notre mise à l’eau une banca d’une quinzaine de surfers locaux viennent envahir le spot. Les Philippins ont beau être sympathiques, il n’y a pas vraiment de vagues pour tout le monde… Aujourd’hui est un jour spécial, les conditions étant médiocres et assez solides, tout le monde se retrouve sur le même spot…

PHILIPPINES ENFIN !

Mais que ferait-on sans internet. Une connexion, quelque clics de recherche et voilà comment je booke à nouveau pour un meilleur tarif qu’au guichet nos billets Cebu Surigao, que je trouve le numéro de tél du ferry et surtout d’une charmante dame de Patrick’s guesthouse qui nous organise le pick up à l’aéroport de Surigao pour nous déposer à l’embarcadère pour le bateau « le Fortune ».
Mon ordi sur les genoux assise sur une banquette en plastique même pas fixé au sol, les bagages tout à travers le « navire », nous nous dirigeons enfin vers notre destination finale. Les Philippines ont l’air magnifique, et le mot est faible.
Nous avons pris un petit avion à hélices, ou chaque m2 est rentabilisé. Je n’étais pas sure que l’on y charge ma planche. Chaque passager est pesé avec leurs bagages à main afin de les répartir dans l’avion. La vue est imprenable, j’ai sans cesse en contre bas des images de cartes postales. Clic clic, je prends bien trop de photos.


arrivee a Siargao
C’était comme dans un rêve. Déjà entre l’avion et le bateau, j’en ai pris plein la vue, puis la route pour rejoindre le port à nos bungalows encore plus beau. Nous logeons sous les cocotiers, dans des bungalows individuels sur pilotis, posés sur un tapis d’herbe. En fait je n’ai pas eu le temps d’en profiter ni d’aller admirer les alentours, que la femme du patron, apparemment, l’une des  meilleures surfeuses des Philippines m’attendaient avec ses copines pour ma première session. 1h après les acolades parentales et les présentations, je me trouvais embarquée en moto, pour rejoindre un peu plus loin au bout du chemin une embarcation pour aller surfer un point au large. C’était « Blue Crush » en réél. 5 filles sur le bateau dans un décor de rêve. On s’est jeté à l’eau et nous avons surfé entre nous jusqu’au coucher du soleil avant de revenir en bateau puis ensuite à 3 de nuit sur la mobilette/moto, planche de surf sous les bras.

GALERES A HONG KONG


C’est bizarre cette sensation de refaire la même chose au même endroit au même moment… Il y a encore 24h je me trouvais devant le check in bagage, vol pour Cebu. Tout était orchestré parfaitement, jusque 5 minutes avant l’embarquement… Et là, petit à petit tout bascule.
 Des heures de recherches et d’organisation sur internet pour trouver les meilleurs tarifs, les meilleures dates, les meilleures connexions de vol. Tout est orchestré à la lettre depuis 3 mois, tout est réglé comme du papier à musique, une véritable agence de voyage.
Seulement on ne peut pas toujours anticiper la bêtise et l’incompétence des gens. Nous avons comme dans tous nos vols depuis notre départ et comme dans pas mal de nos voyages toutes destinations et toutes compagnies aériennes confondues, un harpon dans nos bagages. Seulement, à priori et cette fois là, spécialement pour Hong Kong, alors que bagages et board bag n’ont pas quitté l’aéroport, il nous aurait fallu spécifier la présence d’un harpon à sandow dans nos valises. Il se trouve que juste avant l’embarquement, parce que une heure plus tôt, il n’y avait pas d’urgence d’aprés les agents à l’embarquement, il  nous a fallu descendre au pied de l’avion, dans un van de l’aviation civile, reconnaître « l’arme » de tous nos malheurs à suivre. Nous avons du attendre un policier, puis un autre plus assermenté que le précédent, puis un troisiéme, etc,  alors qu’un « second » prenait des photos d’art de notre fusil de chasse sous marine. Ça ressemblait vaguement à un gros skecht, sauf que l’avion ne nous a pas attendu et ce, au grand désarroi de Haize et Uhaina qui ont fondu en larme. Je n’en menais pas large non plus.
Plus de RDV avec mes parents sur Cebu, plus de connexion pour Siargao, et même plus de vol pour cette île avant le 17 janvier, deux billets fois 3 de perdus et une belle nuit blanche à attendre que ces messieurs de la douane veuillent bien prendre une quelconque décision, sur un sujet qu’ils ne maîtrisent même pas. Est-ce typiquement Chinois ???  J’avoue, qu’il y aurait eu un cour d’eau à côté, je balançais mon harpon à la flotte. J’imagine la tête des policiers, tout penauds de ne plus savoir comment procéder ensuite. Enfin, ils ne restait plus que les 3 agents de l’aéroport ayant subi les évenements comme nous, les flics s’étant carapatés tout confus devant l’ampleur du désastre.
 La compagnie n’étant responsable de ces événements, une fois repassé la douane à l’envers, poser les enfants sur des siéges en féraille, j’ai du me connecté à 4h du matin pour racheter les mêmes billets, pour le même vol, tout pareil, sauf deux fois plus couteux… Quant à la solution pour rejoindre Siargao, à l’heure ou j’écris, assise sur mon chariot à bagages, « NFI ». Peut être un vol avec Philippines airlines à 7.20 du matin mais apparemment complet, celui de Cebu Pacific air à 10.40 pour une arrivée à Surigao à 11h25 et un dernier bateau pour Siargao à midi, faisable ou pas ???…
Sinon, le bateau de Cebu de 19h pour Surigao également… Mystére de mystére, je n’ose réserver quoi que ce soit de mon ordi, au cas où nous trouvions d’autres options ou places dispo sur place, à notre arrivée à 4h30 du matin…  Vous me suivez toujours ???

C’est souvent ainsi les voyages :  fatiguant !

mardi 18 janvier 2011

HONG KONG

Première soirée incroyable sur Honk Kong, c’est comme nous l’imaginions, en mieux.
Notre hôtel, pour profiter de cette première soirée après la descente de l’avion est au coeur de la ville. Illuminée de tous ces néons publicitaires, nous marchons sur Nathan Avenue, dans un nouvel univers, celui du gigantisme de la société de consommation. Les mall se suivent rue après rue, nous ne faisons pas un pas sans nous arrêter dans un magasin d’électronique et autre fashion shop.
La ville est à nous, nous sommes aux anges de découvrir cet autre monde, loin de nos plages paisibles Cingalaises.
Diner tous les trois sur une table face aux cuisines à déguster un plat de (Udon) de grosses pâtes de riz accompagnées de tempura de légumes, crevettes et poissons, le tout arrosé d’une soya sauce les plus fines que j’ai jamais goûtées… En boisson, évidement un mug de thé, à l’algue.
Nos heures de marches après le voyage se font ressentir, il est 23h30, soit 7h de plus qu’en France, ou 2h30 de plus que le Sri Lanka, et  nous allons rêver de nos prochaines visites et découvertes à travers la mégapole…
Hong Kong s’avère vraiment être à la hauteur de notre imagination. Ça grouille de monde, c’est incroyable, nous sommes pris dans ce flot de piétons. Au bout du deuxiéme jour, nous sommes rodés et maîtrisons comme des citadins le métro, tram et repères sur la carte qui ne me quitte jamais. Nous fixons le matin notre planning visite de la journée et le ré-adaptons au fur et à mesure que nous croisons des endroits d’intérêts. Je n’ai jamais autant flané sur les marchés de bibelots et autres souvenirs et frippes en tout genre. Nous alignons les étalages les uns après les autres et marchandons chaque gadget, etc… Uhaina s’achète une montre bague pour 150 HKG (10 Hong Kong Dollar = 1 E), une quantité de petites boucles d’oreiiles pour quelques dollars, un collier et bracelet en pierre de Jade, tout comme moi, Haize ayant choisi une pierre de Jade gravée d’un dragon, mais aussi un éniéme mini hélico télécommandé.
Nous mangeons dans la rue des petites brochettes de dim sum et le soir nous nous posons dans des petits restaurants typiques, pour déguster congee, noodle, accompagnés d’énorme crevettes ou canard laqué. Nous faisons quelques variantes chino-japonnaise avec des sushi, tempura et Udon…
Botanical Garden,  the Peak ,Central Plaza,  Tian Tan Buddha statue, Wan Chai, Aberdeen, Central, Kowloon et ses markets ; c’est un vrai marathon que nous enchainons. Pour soulager nos petits pieds, nous profitons dans quelques grandes artéres  de massages plantaires et réflexologie pour quelques  dollars honkongais… Pendant une heure installé dans de grands fauteuils moelleux, nous savourons ce moment de calme et de relaxation. C’est du luxe…
Un petit regret sur la temperature extérieure, je dirais un peu fraiche et humide pour qui a passé 1 mois déjà au Sri Lanka . Nous ne sommes pas vraiment équipés pour ces températures en dessous des 14° et Elody, qui nous héberge dans sa maison à la périphérie de la ville, nous prête quelques habits. Avec nos pulls, coupe  vent et basquettes, short pour Haize et double sarouelle pour Uhaina, enfilant des couches de vêtements les unes sur les autres, nous ressemblons à des claudots… Mais au moins, on a chaud, contrairement à notre premier jour de visite.


samedi 8 janvier 2011

Bien Français...


Galle, première « grande ville » munie d’hôpitaux et notamment de super market, se trouve à 30 minutes de notre point de chute. Nous sommes à saturation des rice’n curry et autre fried noodles ou rotty. Il se trouve qu’un nouveau mini super marché s’est construit à la sortie de la ville et à notre grande surprise nous y trouvons dans ses rayons toutes sortes de mets rares pour ce pays, tel que chocolat noir Lindt,  fromage et pain. L’accès au fromage est sous haute surveillance, faut dire qu’un camembert classique à 8€ c’est du luxe.
Nous chargeons le coffre de notre scooter de loc de chocolat noir, yahourt et fromage qui constitueront notre diner du soir sur la plage, en espérant que le tout ne sera pas trop fondu d’ici que nous avalions avec notre deux roues chargé de nos trois personnes la vingtaine de kilomètres qui sépare Galle de Ahangama.
Quand on est français, on ne se refait pas…
Encore quelques jours sous le soleil cingalais avant notre départ pour notre prochaine destination de ce trip : Hong Kong !

samedi 1 janvier 2011

Victor, l'explorator !



Expédition plongée en ce jour et test matos pour notre famille d’apprentis surfers. Nous enchainons session de surf sur le main peak, direct sur le reef dans de petites conditions parfaites, puis avant même de nous sécher, nous repartons explorer les fonds et chasser le poisson. Hélas le soleil vient de se cacher derrière quelques nuages, rendant les fonds plus obscurs et la chasse plus délicate. A ce jeu là, Haize est le meilleur et ce sera le seul à nous ramener notre lunch.
Sitôt pêché, sitôt dans l’assiette, et pendant que l’hôtel face au spot nous prépare notre pêche, nous nous remettons à l’eau avec Aristide. Le peak est à nous, il n’y a plus personne à l’eau. Droite, gauche, gauche , droite, le top !
Coupure surf pour une autre forme de glisse, plutôt, underwater. Nous testons le futur projet de Laird Hamilton, qui est de surfer la vague sous l’eau à l’aide d’un seabob. Les enfants sont comme des fous avec ce « jouet ». Nous sommes en mission James Bond…