Mais que ferait-on sans internet. Une connexion, quelque clics de recherche et voilà comment je booke à nouveau pour un meilleur tarif qu’au guichet nos billets Cebu Surigao, que je trouve le numéro de tél du ferry et surtout d’une charmante dame de Patrick’s guesthouse qui nous organise le pick up à l’aéroport de Surigao pour nous déposer à l’embarcadère pour le bateau « le Fortune ».
Mon ordi sur les genoux assise sur une banquette en plastique même pas fixé au sol, les bagages tout à travers le « navire », nous nous dirigeons enfin vers notre destination finale. Les Philippines ont l’air magnifique, et le mot est faible.
Nous avons pris un petit avion à hélices, ou chaque m2 est rentabilisé. Je n’étais pas sure que l’on y charge ma planche. Chaque passager est pesé avec leurs bagages à main afin de les répartir dans l’avion. La vue est imprenable, j’ai sans cesse en contre bas des images de cartes postales. Clic clic, je prends bien trop de photos.
arrivee a Siargao |
C’était comme dans un rêve. Déjà entre l’avion et le bateau, j’en ai pris plein la vue, puis la route pour rejoindre le port à nos bungalows encore plus beau. Nous logeons sous les cocotiers, dans des bungalows individuels sur pilotis, posés sur un tapis d’herbe. En fait je n’ai pas eu le temps d’en profiter ni d’aller admirer les alentours, que la femme du patron, apparemment, l’une des meilleures surfeuses des Philippines m’attendaient avec ses copines pour ma première session. 1h après les acolades parentales et les présentations, je me trouvais embarquée en moto, pour rejoindre un peu plus loin au bout du chemin une embarcation pour aller surfer un point au large. C’était « Blue Crush » en réél. 5 filles sur le bateau dans un décor de rêve. On s’est jeté à l’eau et nous avons surfé entre nous jusqu’au coucher du soleil avant de revenir en bateau puis ensuite à 3 de nuit sur la mobilette/moto, planche de surf sous les bras.
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