Dimanche 19.
Nous organisons un convoi pour Hikkaduwa, la Mecque locale du surf, le Coppacabana Cingalais…
Nos amis, venus de France pour quelques semaines, ont loué des petites motos Bajaj, le concessionnaire phare de cette partie de l’Asie. Je suis aux commandes du tuk tuk, Eric m’ouvre la route, suivi de Denis et sa femme. Encore mieux que le président ! Sur les ¾ d’heure de route, nous essuyons tout de même deux pannes de three Wheel ; l’une concernant un problème de carburateur si je me souviens bien - parce que pour moi, la mécanique, c’est comme le poisson, je n’aime pas y mettre les mains - et l’autre, l’axe de tringlerie des vitesses. En 2-2 Eric, muni de sa petite caisse à outil personnelle et de beaucoup d’ingéniosité, récupère une des vis de la plaque d’immatriculation et s’en sert d’axe. C’est reparti !
Chacun trouve son bonheur dans les rues de Hikkaduwa : bijoux sertis de pierres semies précieuses, boardshort, sarouel, paréo, sculpture en ébène, etc… Le tout pour quelques roupies pour qui sait bien négocier.
Avant de reprendre la route, nous dégusterons nos rotty, sorte de pâte à l’eau en forme de crêpe que l’on farcit de légumes ou de viande. Le tout sur le bord de la route, au centre du brouhaha de la ville. Une petite préférence pour cette cahute, seul endroit ou je peux manger des rotty « without onion and no spicy ». Et oui, je n’aime pas toucher le poisson, ni le cambouis, ni les onions et les mets qui arrachent… Mais j’aime le chocolat !
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